Le papier de Berges , d’où vient ce nom ?

L’histoire du papier

le papier fut créé il y a 2000 ans en Chine et il s’est rapidement diffusé dans le monde. De l’Asie centrale, puis passant par l’empire arabo-musulman, il est enfin arrivé chez nous (en Europe et dans la France ). Cependant, l’homme a commencé a écrire bien avant. Il inscrivait donc sur des supports différents. Tout d’abords, à la préhistoire, non pas pour écrire mais pour dessiner, l’homme utilisait tous ce qu’il pouvait trouver. Il usait de tout pleins de matériaux variés : les parois des cavernes, la pierre, les écorces d’arbre, les feuilles, les lamelles de bambou, des os, des écailles …

Puis, après l’invention de l’écriture (-3000), les scribes gravaient sur des supports en argile et en pierre. Et par ce que cette sorte de support se trouvait être trop encombrante et compliquée a transporter, ils se sont transformés au court du temps en tablette de bois, puis en papyrus (issu de peau de mouton ou de chèvre), et enfin, en PAPIER.

Ce dernier est créé à partir de fibre de cellulose en majorité (donc végétale).

La pâte végétale, après avoir été trempée dans l’eau, est égouttée sur une surface plate et lisse.

De nos jour, il existe des usines spécialisées à la création du papier. Ce sont les papeteries. Leur exploitation a démarrée pendant la révolution française, et l’un des premier introducteur en France de la machine à papier était Aristide Berges, le représentant de notre lycée (d’où le nom de notre journal « le papier de berges »).

Encadré : Aristide Berges (1833-1904), est né dans une famille de papetier. Il est célèbre pour sa remarquable réussite à encrer le papier en France, car en effet, il a créé plusieurs papeteries et râperies ( pour rapper du bois qui sert à la fabrication du papier ). Mais il est aussi connu en tant qu’ingénieur hydraulicien, car il est le créateur de la houille blanche ( une énergie électrique créé a partir de l’énergie cinétique des chutes d’eau = barrages ).

L’utilisation du papier s’est très vite propagée dans le monde, car ne l’oublions pas, le papier est le meilleur support pour transmettre et communiquer. Mais cela a put être possible grâce à l’impression.

A la création du papier, la première forme d’impression se faisait à la main par des copistes qui réécrivaient des livres entier un par un. Longtemps plus tard, différentes techniques se sont succédé. Premièrement, la xylographie et sont dérivé la typographie ( qui consistaient à encrer une gravure, ou des lettres en plomb interchangeable sur un support, et de tamponner sur une feuille vierge ). Par la suite, l’imprimerie s’est mécanisée avec l’imprimerie rotative, en masse (le tamponnage se faisait mécaniquement par des cylindres, sur des longues bobines de papier qui après étaient découpées en feuilles). Ensuite, il y a eu la lithographie pour des trais plus fin à recopier ( on dessinait sur une pierre avec un crayon gras, sur lequel venait se fixer l’encre, puis on tamponnait avec un cylindre, et on pouvait effacer le trais de crayon original pour réutiliser la pierre ≠ une gravure ). Dernièrement, avec l’ère numérique et les inventions technologiques, on été créé les imprimantes (qui impriment via un texte informatique crée sur un ordinateur. ), ainsi que plus poussée, les imprimantes 3D (qui impriment des objets réels avec l’aide d’une configuration informatique).

Mais rappelons que, en France avant le 19e siècle, l’impression est contrôlée par les différents régimes qui se succèdent et c’est seulement à partir du 29 juillet 1881 qu’est adoptée une loi sur la liberté de presse, et que chacun peu s’exprimer librement à travers des écrits.